j ai mangé des vers que faire
DesArticles; Faire un don; Manger dans l’esprit de l’alliance. Passage de la Torah RE’EH – Devarim (Deutéronome) . Haftarah: Es. 66:1-24 . Manger comme un acte d’adoration. Celui qui mange Ma chair et boit Mon sang a la vie éternelle, et Je le ressusciterai au dernier jour. Car Ma chair est la vraie nourriture, et Mon sang est la vraie boisson.” Jean 6:54. Shabbat
Haricotsverts : problème de levée. Bonjour à tous ! Tous les ans, j'ai des problèmes avec mes haricots verts nains. La levée est très faible (moins d'une graine sur 20). J'attends que la terre soit assez réchauffée, le problème ne vient donc pas d'un semis trop précoce. J'ai essayé plusieurs méthodes différentes :
Surquels critères ? Les recettes doivent être faciles à faire, rapide à préparer, pas chères et surtout délicieuses. Nous vous proposons ainsi sur cette page notre sélection des meilleures recettes de diner du site: les mieux notées et les plus utilisées par nos membres. Plus de risque de ne pas savoir quoi manger ce soir.
Sion consomme des aliments périmés, on risque des toxi-infections alimentaires qui se manifestent principalement par de la fièvre, de la diarrhée, des en général apparaissent dans les heures qui suivent le repas. Tout dépend de la bactérie responsable. Ces signes peuvent apparaître soit dans l'heure qui suit le
Hiersoir j'avais pas faim, donc j'ai pas mangé, et aujourd'hui je me suis levé tard donc flemme de faire à manger, et je pense ne pas manger ce soir parce que je me dis que plus je saute de
nonton the walking dead season 11 sub indo. Les cinq enseignements que j’aurais aimé recevoir de Charles Darwin pour favoriser les vers de terre dans mon jardin Que vient faire Charles Darwin dans un blog sur le jardinage ? En effet cet immense savant, sans doute un des plus grands de tous les temps, est surtout connu pour ses travaux sur l’évolution des espèces. Mais ce n’est pas là sa seule contribution à l’avancée des connaissances Il est aussi le tout premier à s’être intéresser à ces animaux à priori insignifiant que sont les vers de terre ! Il s’y est même intéressé dès les années 1830, même si son ouvrage sur le sujet ne paraît qu’en 1881. Il est donc le tout premier à avoir décrit ces animaux et surtout à avoir compris l’impact exceptionnel qu’ils ont sur le sol et son fonctionnement. Avant d’entrer dans les enseignements que son travail apporte au jardin, je fais quelques petites précisions sur ces petites bêtes Il existe trois principaux de type de vers de terre dans nos jardins – Les vers de surface aussi appelés vers de compost car ils prolifèrent dans les composts ; – Les vers endogés qui vivent uniquement sous terre dans des galeries horizontales ; – Les vers anéciques qui vivent sous terre dans des galeries verticales et qui remontent en surface pour se nourrir. Ce que je vais expliquer dans cet article concerne surtout les anéciques et, dans une moindre mesure, les endogés qui sont les seuls vers à creuser des galeries et à ingérer la terre. Je ne veux bien sûr pas dire là que les vers de surface sont sans intérêt, au contraire ! Il faut simplement comprendre que leur rôle est celui des recycleurs de la litière de surface, à l’instar de la grande majorité des autres animaux du sol collemboles, acariens, mille pattes, cloportes, gastéropodes… Les cinq enseignements que je vous partage ici concernant ces vers souterrains sont les suivants – Ne plus travailler le sol ; – Mettre à profit leurs galeries pour remplacer le travail du sol, optimiser l’irrigation et favoriser la prospection des racines ; – Les nourrir en amenant de la cellulose ; – Ramener au sol les matières vertes produites au jardin ; – Mettre à profit leurs déjections pour optimiser la fertilisation des cultures. Premier enseignement ne plus travailler le sol Les vers de terre vivent dans la terre, dans des galeries qu’ils ont eux-mêmes creusé en ingérant la terre située devant et en la rejetant derrière eux après avoir prélevée les nutriments qui les intéressent. Lorsqu’on bouleverse le sol, on vient détruire ces galeries et parfois même les vers de terre eux même. Les outils les plus destructeurs sont bien sûr les outils à socs, comme la charrue ou le motoculteur qui tuent les vers qui ont le malheur de se trouver sur leur passage et qui détruisent leur habitat et aussi le garde-manger de ceux d’entre qui remontent en surface pour se nourrir. Ne plus travailler le sol permet donc tout simplement d’épargner la vie et l’habitat de ces petites bêtes. Le travail intensif du sol a complètement éliminé les vers de terre de ce sol et sa qualité s’en ressent au vu de cette surface minérale durcie et presque imperméable à l’eau. Deuxième enseignement mettre à profit leurs galeries pour remplacer le travail du sol, optimiser l’irrigation et favoriser la prospection des racines Bien sûr, remplacer le travail des outils bêche, motoculteur, grelinette… n’est pas toujours si simple. Je renvoi pour cela à lecture d’article de mon blog qui traitent ce sujet plus spécifiquement, comme celui-ci ou celui-là. J’insiste ici seulement sur le fait qu’en forant le sol de part en part de leurs galeries, les vers de terre endogés et anéciques l’aèrent bien mieux et beaucoup plus en douceur que n’importe quel outil. Ce travail du sol est ainsi répartit sur tout le profil du sol et consiste en des galeries de quelques millimètres de diamètre dans lesquels l’eau, l’air et les organismes du sol circulent aisément. En cas de pluie, même très violente, l’eau s’infiltre très rapidement à travers ce réseau de drainage naturel, évitant ainsi le ruissellement et l’érosion en surface. Une fois que les galeries sont remplies d’eau, celle-ci se diffuse par capillarité à l’ensemble du sol. Les vers de terres nous aident donc à valoriser au mieux l’eau qui tombe du ciel, aussi bien que celle qui tombe de nos arrosoirs. Ils sont une aide précieuse pour optimiser l’irrigation. En plus le sol criblé de galeries s’humectant par le bas au fur et à mesure que les galeries se remplissent, cela incite les racines à explorer le sol en profondeur. Ce profil de sol montre l’importance des galeries de vers de terre dans l’aération du sol ! Ces galeries sont également de voies privilégiées pour le développement des racines des plantes qui se frayent ainsi un passage très facilité vers les couches de sol profond et plus humide que la surface. Racine dans une galerie de ver de terre. Troisième enseignement nourrir les vers de terre en amenant de la cellulose foin, feuilles… La nourriture préférée des vers de terre se compose de matériaux riches en cellulose, comme de herbes ou des feuilles. Afin de les nourrir efficacement, il faut leur apporter cette nourriture en abondance, cela peut être facilement réalisé avec un apport de foin ou de feuilles mortes. En revanche, de la paille ou du BRF sont beaucoup plus ligneux et donc moins intéressant pour nourrir les vers de terre. Il se peut toutefois que vous observiez plus de vers de terre sur un sol paillé avec ces matériaux que sur un sol nu avoisinant, mais c’est plus dû à un meilleur maintien de l’humidité par ces matériaux qu’à leur capacité à être consommés par les vers. Un mulch de foin rien de tel pour nourrir notre élevage souterrain de vers de terre ! Si ces matériaux naturels venaient à faire défaut chez vous, vous avez également la possibilité d’utiliser des papiers et des cartons les choisir marron et sans inscription et en retirer les scotchs éventuels. Ces matériaux sont de la cellulose quasiment pure et peuvent donc nous aider à nourrir les vers de terre en plus de nous aider à limiter l’enherbement sans aucun travail du sol. Quatrième enseignement ramener au sol les matières vertes produites par le jardin Bien sûr de telles matières riches en cellulose poussent directement dans le jardin, c’est ainsi que la plupart des résidus de culture, que ce soit au potager ou au jardin sont une nourriture de choix pour nos hôtes préférés ! Ramenez donc au sol toutes les matières végétales que vous ne récoltez pas ! En plus, vous pouvez aussi faire des cultures exprès pour les nourrir ce sont les couverts végétaux qui, après destruction, ramènent une grande quantité de matières vertes au sol, les vers se délectent de celles-ci. Nourrir efficacement les vers de terre est donc un des multiples effets positifs des couverts. En ramenant ainsi systématiquement au sol vos résidus de cultures et de couverts végétaux vous d’entretenez tout au long de l’année le garde-manger de nos amis souterrains ! C’est encore plus intéressant pour eux qu’un apport massif de foin une fois par an ! Un couvert végétal fin avril. La végétation qu’il laisse au sol après destruction. Le sol deux semaines plus tard les dix premiers centimètres sont remplis de turricules de vers de terre… Cinquième enseignement Mettre à profit leurs déjections pour optimiser la fertilisation des cultures Les déjections des vers de terre sont un peu particulières, on les appelle turricules et c’est un mélange intime de terre ils ingèrent de la terre pour creuser leurs galeries et de matières organiques. Le tout très enrichit en micro-organismes bactéries, protozoaires…. Cette richesse en micro-organismes permet de rendre les éléments minéraux dont les plantes ont besoin d’être plus accessible dans les déjections des vers de terre que dans le sol environnant. En conséquence un sol riche en vers de terre permet de réduire la fertilisation des plantes ! Bien sûr il est très difficile de quantifier cet effet, mais il participe au fait que les jardiniers qui travaillent avec un sol vivant ont moins besoin de fertiliser que les autres ! Turricule de vers de terre. Un ver de terre en train de déféquer le début de la formation d’un turricule En conclusion, ce cher Darwin avait donc vu juste parmi les milliers d’animaux qu’il a étudiés, il a bien compris que ceux sont particulièrement importants dans le fonctionnement de nos sols et donc extrêmement utiles au cultivateur, qu’il soit céréalier ou jardinier sur quelques mètres carré ! Cela grâce au forage incessant du sol qu’ils réalisent et grâce à la richesse biologique et chimique de leurs déjections. Bien sûr pour bénéficier de tels effet, il faut respecter leur habitat en travaillant le moins possible le sol et les nourrir avec toutes sortes de matières riches en cellulose. Matières que l’on peut apporter ou bien produire sur place ! Je vous souhaite bonne mise en œuvre de ces conseils pour 2015 ! Pour aller plus loin sur les vers de terre Des vers de terre et des hommes Découvrir nos écosystèmes fonctionnant à l’énergie solaire Par Marcel Bouché Cet article participe à l’événement inter-blogs Les 5 choses que j’aurais aimé que l’on me dise avant de commencer mon potager » organisé par le blog PotagerDurable. Pour découvrir ce qu’ont écrit les autres blogueurs, cliquez sur ce lien Voir la liste des articles participants.
9 sujets de 1 à 9 sur un total de 9 Messages 23 mai 2011 à 12h09 Répondre Bonjour, j’ai récolté des radis hier et je me suis aperçu, ou plutôt ma femme car moi je les gobé… qu’il y avait des petits vers blancs de dans… ce ne sont pas des larves de hannetons, ils sont plus petit et pas la tête brune. j’ai vu des choses comme quoi il fallait – faire du purin d’ails et traiter avec ça comment fait on du purin d’ails; des recettes?? – planter des ails entre les radis… – planter des pommes de terre qui attireront les vers qui rafolles des pommes de terre. – étaler des feuilles de choux entre les routes Est ce que vous avez déjà tester ces solutions? en avez vous d’autres? J’ai des betteraves , des carottes, des courgettes et des cornichons à proximité; risquent ils d’être attaqués aussi?? Merci d’avance pour vos réponses. 25 mai 2011 à 5h51 Répondre Bonjour, Alors ils étaient bon ses radis avec de la viande a l’intérieur? lol! àa doit être un genre de verre blanc ou de taupin. J’en ais eu l’année dernière, mon mari aussi en a manger sans faire attention; résultat je les aient tous jetés! Je ne sais pas si le purin d’ail est efficace il me semblais que c’était + contre les pucerons! Purin d’ail Hache 2 à 3 gousses d’ail, mettre le hachis dans litre d’eau bouillante, couvrir et laisse infuser 12 h. Ensuite tu filtre et vaporise. Il faut faire cela 3 fois à 3 jours d’intervalle. La préparation ne se conserve pas. Sinon j’ai entendu dire qu’on pouvais mettre une demi patate côté coupé dessous dans la terre, car elle attire les vers qui vienne la manger mais il faut en changer tous les 2 jours! Peut être que quelqu’un a d’autre solution!! Bonne journée…. 25 mai 2011 à 5h54 Répondre oups, j’ai oublier de te dire que tes betteraves et carottes risque d’être attaquer aussi! En faite tout les légumes racines! Alors il faut vite trouver une solution! 25 mai 2011 à 10h03 Répondre Bonjour, Mon premier semis de radis était aussi plein de vers, des larves de taupin, j’ai vite laissé tomber car un saladier plein pour 10 radis mangeables à peine. Ils étaient dans un endroit ombragé près de quelques pommes de terre qui avaient poussées toutes seules et que j’avais replanté dans le coin. Du coup j’ai changé d’endroit pour mon deuxième semis, ayant lu qu’ils aimaient la compagnie des pois, j’en ai semé un peu pour voir en même temps que mes petits pois. Et là ils sont très bien, tendre, arrosé un peu en même temps que les pois, pas un ver, j’ai encore de quoi en ramasser 2 fois je pense. Ensuite je butterais mes petits pois contre le grillage que j’ai mis pour les faire grimper, sans doute ce weekend, et je crois que je vais remettre des radis devant les pois puisque ça leur plaie. Du coup c’est plein sud au soleil ! S’il s’agit de larves de taupin, on peut faire des pièges avec des vielles pomme de terre s’il en reste, couper la pdt en deux et mettre la face contre terre, les taupins vont s’y mettre, il suffit de vérifier les pdts et de les supprimer lorsque infectées et d’en remettre s’il faut. 30 mai 2011 à 11h53 Répondre Merci je vais essayer les 2 purins d’ails et pommes de terre… 31 mai 2011 à 6h56 Répondre Bonjour, j’aurais plutôt dis des larves de mouches, comme celles sur les navets, choux et autres. Très courant en période chaude, c’est pourquoi je ne sème pas de navets avant le mois d’aout. Mais pour les radis… Je les cultive sous un voile d’hivernage. Les plants arrivent à le lever lors de la croissance. Pas de vers dans les radis! même les feuilles ne sont pas touchées et passées en soupe ou, quand marre de la soupe aux radis, c’est aux poules que ça va. remarque que avec trous ou pas, les poules s’en foutent! 31 mai 2011 à 12h11 Répondre les feuilles ne sont pas touchées, mais pour mettre tout le monde d’accord, je vais faire un élevage de ces vers, on verra ce que ça deviendra lol. Tu fais de la soupe avec les feuilles ou les radis eux même? 31 mai 2011 à 14h58 Répondre Bonjour, Beaucoup de fanes sont utilisables dans la soupe, celle des radis, des carottes, des betteraves rouges qui contient de la vitamine K, on peut aussi ajouter feuilles d’orties c’est plein de minéraux… 31 mai 2011 à 19h17 Répondre Diffa wrote Bonjour, Beaucoup de fanes sont utilisables dans la soupe, celle des radis, des carottes, des betteraves rouges qui contient de la vitamine K, on peut aussi ajouter feuilles d’orties c’est plein de minéraux… Oui, mais alors de préférence de l’ortie blanche! Pour la soupe aux pommes de terre, mieux vaut utiliser le tubercule, la fane… Je n’ai jamais gouté! comme la carotte d’ailleurs. Auteur Messages 9 sujets de 1 à 9 sur un total de 9 Vous devez être connecté pour répondre à ce sujet. Créer un compte / Se connecter
Comment identifier les vers de la tomate Les vers de corne peuvent atteindre 5 pouces de long, ce qui peut être un choc lorsque vous en rencontrez un! Ils causent le plus de dégâts au stade chenille – ou larvaire -. Ils sont vert pâle avec des marques blanches et noires, ainsi qu’une saillie en forme de corne provenant de l’arrière. Ne vous inquiétez pas, ils ne sont pas capables de piquer ou de mordre! La chenille a également huit bandes en forme de V sur son corps vert. Les vers de corne de la tomate proviennent d’un papillon de nuit brun-gris marbré voir la photo ci-dessus. Les larves se fondent très bien dans la verdure de la plante. Il suffit de s’habituer à une patrouille quotidienne, à la recherche d’oeufs et de petites chenilles. Voici quelques indices d’infestations Les vers de corne ont tendance à commencer à se nourrir du haut de la plante; recherchez les feuilles mâchées ou manquantes. Examinez attentivement le DESSUS de vos feuilles de tomate pour voir les fientes vert foncé ou noires laissées par les larves qui se nourrissent des feuilles. Ensuite, regardez le dessous des feuilles et vous trouverez probablement un ver commun. Recherchez les tiges qui manquent quelques feuilles et les feuilles fanées qui pendent. Vous trouverez peut-être des cocons blancs et leurs hôtes tordiers à proximité. Ver de la tomate Tomate contre tabac Il existe quelques espèces de vers de corne qui peuplent les jardins nord-américains, notamment vers de corne de tomate Manduca quinquemaculata et les vers de tabac Manduca sexta. Les deux espèces se nourrissent de plantes de jardin communes comme les tomates, les pommes de terre, les poivrons et les aubergines. Voici comment déterminer quelle chenille est laquelle Les vers de corne du tabac ont des rayures blanches parallèles; les vers de corne de la tomate ont des marques blanches en forme de v. Les vers de corne du tabac ont des taches noires tapissant chacune de leurs bandes; les vers de la tomate ne le font pas. Les vers de corne du tabac ont une queue en forme de corne» rouge; les vers de corne de la tomate ont une corne noire. Pouvez-vous dire de quel hornworm c’est? C’est un ver de corne de tabac! Notez les rayures blanches avec des lignes noires en pointillés et une corne » rouge Dommages causés par le ver corneille Si vous voyez des feuilles avec de grands trous et une défoliation grave, des fleurs dévorées et / ou des cicatrices à la surface des fruits, vous pourriez avoir des vers de tomate ou du tabac. Les fruits peuvent également être endommagés par l’insolation due à la réduction de la couverture foliaire.
Que dois je faire ? Je me suis mis au cru, j’ai mangé une super salade et j’ai des ballonnements terribles !On peut penser que la salade a été trop composée » un mélange trop important d’ingrédients différents, qui ne se combinent pas tous très bien ensemble et après digestion, génèrent des fermentations. On remarque souvent cela sur des mélanges salade et fruits, ou encore avec des ingrédients à fort contenu cellulosique, des chaines longues de sucres complexes, comme par exemple les grosses graines germées lentilles, etc.., ou avec les légumes racines, etc.. Ceci reste très individuel, à chacun de tester, d’expérimenter les mélanges qui lui conviennent et ceux qui créent des ballonnements. En général, de tels ballonnements témoignent avant tout d’une dysbiose intestinale, notre biote en terme de micro organismes est déséquilibré. Dans tous les cas, il est essentiel de bien mastiquer et réduire en bouche au maximum ce qu’on apporte dans le tube digestif, et de simplifier ses repas au maximum. Ensuite, il est aussi très important de travailler sur ses intestins et de rétablir une flore intestinale la plus saine possible. Ces fermentations et ces ballonnements au niveau de l'intestin grêle témoignent d'une prolifération de bactéries anormale dans l'intestin grêle qui ne permettent pas la dégradation des fibres comme il devraient l'être. C'est donc de tout un rétablissement de la sphère intestinale dont il est question, il s'agira de limiter les fibres complexes, préférer les jus et les fruits car nous ne sommes pas encore équipés pour traiter ces fibres.
Un asticot est une larve de la mouche commune. Les asticots ont un corps mou et pas de pattes, ils ressemblent donc un peu à des vers. Ils ont généralement une tête réduite qui peut se rétracter dans le corps. La mouche des asticots désigne généralement les larves qui vivent sur la chair pourrie ou les débris de tissus d’animaux et de plantes. Certaines espèces mangent des tissus animaux sains et de la matière végétale vivante. Pourquoi tu les mangerais ? Certaines personnes choisissent de manger des asticots intentionnellement. Les asticots peuvent être frits et mangés dans des endroits où les insectes mangeurs sont courants. Ils peuvent également être utilisés pour faire une délicatesse sarde. Casu marzu » se traduit par asticot ou fromage pourri. C’est un fromage italien qui est préparé spécialement pour devenir un lieu de reproduction pour les asticots. Bien que le casu marzu puisse être décrit comme un fromage pecorino fermenté, il se décompose en fait. On dit que le fromage peut être consommé sans danger tant que les asticots sont encore vivants. Il est également possible de manger des asticots par erreur puisqu’on les trouve souvent autour des aliments, bien qu’on les trouve habituellement autour d’aliments contaminés que l’on évite. Cependant, manger des asticots pose quelques risques dont vous devez être conscient. Risques liés à la consommation d’asticots Il peut être sécuritaire de consommer des asticots eux-mêmes, mais vous pouvez être sensible à tout ce qu’ils ont mangé ou auquel ils ont été exposés, comme les excréments ou la chair pourrie. Les fruits infestés d’asticots sont susceptibles de pourrir et d’être infestés de bactéries. Parmi les autres risques, mentionnons les suivants Myiase La myiase est une infection qui se produit lorsque les asticots infestent et se nourrissent des tissus vivants des animaux ou des humains. Elle est plus fréquente dans les comtés tropicaux et subtropicaux. Les personnes qui ont de la difficulté à maintenir une bonne hygiène bucco-dentaire sont particulièrement à risque. Les larves peuvent s’installer dans les zones de la bouche où l’hygiène est médiocre. On pense également que la consommation d’asticots laisse les organes internes et les tissus sensibles aux larves, bien que la myiase soit le plus souvent quelque chose qui se produit sous la peau. Les asticots qui causent la myiase peuvent vivre dans l’estomac et les intestins ainsi que dans la bouche. Cela peut causer de graves lésions tissulaires et nécessite des soins médicaux. La myiase est non contagieux. Les symptômes de la myiase dans votre tractus gastro-intestinal comprennent des maux d’estomac, des vomissements et de la diarrhée. Dans la bouche, les larves sont généralement visibles. Empoisonnement bactérien La consommation d’asticots ou d’aliments infestés d’asticots peut causer un empoisonnement bactérien. La plupart des aliments contenant des asticots ne sont pas sécuritaires, surtout si les larves ont été en contact avec des excréments. Certains mouches domestiques utiliser les excréments animaux et humains comme sites de reproduction. Ils se reproduisent également sur des déchets ou des matières organiques en décomposition. Il est possible que les asticots soient contaminés par Salmonella enteritidis et Escherichia coli. Les symptômes d’une infection à E. coli comprennent la fièvre, la diarrhée, la nausée, les vomissements et les crampes. Les symptômes de la salmonelle sont similaires. Ces deux conditions peuvent également causer des selles sanguinolentes et de la fatigue. Réaction allergique Certaines personnes peuvent être allergiques aux asticots. Il a été démontré que certains types de larves causent des symptômes respiratoires et asthmatiques chez les personnes qui ont manipulé les larves pour les utiliser comme appâts de pêche vivants ou qui sont exposées professionnellement. Des cas de dermatite de contact ont également été signalés. Il a été suggéré que vous pourriez avoir une réaction allergique si vous mangez des larves qui ont été exposées à des aliments auxquels vous êtes allergique. Des recherches scientifiques sont nécessaires pour clarifier ce point de vue. Y a-t-il un moyen de manger des asticots en toute sécurité ? Les asticots peuvent être une source viable de protéines, de bons gras et d’oligo-éléments. Les scientifiques étudient la possibilité d’utiliser des asticots pour produire des protéines texturées ou une collation durable pour les humains. Manger des asticots séchés, cuits ou en poudre est plus sûr que de manger des larves entières et non transformées. Le traitement éliminerait les microbes, les parasites et les spores bactériennes. La production de larves de cette façon aurait moins d’impact sur l’environnement que la production de viande destinée à la consommation humaine. Toutefois, à l’heure actuelle, les risques existent toujours et l’emportent probablement sur les avantages potentiels. Quand consulter un médecin ? Appelez votre médecin si vous développez des symptômes inhabituels que vous pensez être liés à la consommation d’asticots. Ceci est particulièrement important si vous êtes sous les tropiques ou si vous voyagez dans un pays où les conditions alimentaires sont dangereuses. Dans l’ensemble, il est peu probable que vous soyez exposé à de grandes quantités d’asticots. Si vous en mangez accidentellement une dans une pomme, tout ira probablement bien. Vous pouvez choisir de manger des asticots frits ou du marzu casu à votre propre discrétion. Pour empêcher les asticots et les mouches de se développer dans votre maison, suivez ces conseils Gardez votre maison et votre cuisine aussi hygiéniques que possible. Gardez un œil sur tous vos fruits, légumes et viandes pour vous assurer qu’ils ne deviennent pas des aires de reproduction. Couvrez vos fruits et légumes d’un filet ou rangez-les au réfrigérateur, surtout si vous vivez dans un climat plus chaud. Gardez votre poubelle couverte et sortez-la le plus souvent possible.
j ai mangé des vers que faire